Soeur Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face Histoire d'une âme écrite par elle-même

NOTES:

[1] Une boucle des cheveux de Sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus et sa première petite dent enchâssée dans un de ses bijoux.

[2] Publiée seule à la première édition.

[3] Univers, 11 juillet 1906.

[4] Mgr d'Aviau, le saint et illustre archevêque de Bordeaux, fit aux parents l'honneur de baptiser le petit Louis. Lisant dans l'avenir, il leur dit: «Réjouissez-vous, cet enfant est un prédestiné.»

[5] Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis.

[6] Devenue bientôt après Sœur Marie-Dosithée, au Monastère de la Visitation du Mans, elle y pratiqua constamment toutes les vertus religieuses. De son propre aveu, jamais, dans toute sa vie, elle ne commit de propos délibéré la faute la plus légère. Dom Guéranger, qui la connaissait, la citait comme un modèle de parfaite religieuse.

Mgr d'Outremont, de sainte mémoire, vint la visiter quelques jours avant sa mort et lui dit cette parole qui la combla de joie: «Ma fille, n'ayez aucune crainte, où l'arbre tombe, il demeure: vous allez tomber sur le Cœur de Jésus pour y demeurer éternellement.» Ainsi encouragée, elle mourut dans d'admirables sentiments de confiance, le 24 février 1877, dans sa quarante-huitième année.

[7] R. P. de Santanna.

[8] Cette vierge précieuse, bien que sans aucune valeur artistique, s'était animée deux fois pour éclairer et consoler, en de graves circonstances, la mère de Thérèse. Elle-même reçut, par cette statue bénie, des grâces signalées, comme nous le verrons plus loin.

[9] Marci, III, 13.

[10] Exod., XXXIII, 18, 19.

[11] Rom., IX, 16.

[12] Ps. XXII, 1, 2, 3, 4.

[13] Ps. CII, 8.

[14] Cette vénérée Mère avait fait profession au Carmel de Poitiers, d'où elle fut envoyée pour fonder celui de Lisieux en 1838.

Sa mémoire est restée en bénédiction dans ces deux monastères; elle y pratiqua constamment sous le regard de Dieu seul les vertus les plus héroïques, et couronna par une mort très sainte une vie chargée de bonnes œuvres, le 5 décembre 1891. Elle était âgée de quatre-vingt-six ans.

[15] Marie Guérin entra au Carmel de Lisieux, le 15 août 1895, et prononça ses vœux sous le nom de Sœur Marie de l'Eucharistie.

Elle se fit remarquer par son grand esprit de pauvreté et sa patience au milieu de longues souffrances. «Je ne sais pas si j'ai bien souffert, dira-t-elle pendant sa dernière maladie, mais il me semble que Thérèse me communique ses sentiments et que j'ai son même abandon. Oh! si je pouvais comme elle mourir d'amour! Ce ne serait pas étonnant, puisque je fais partie de la légion des petites victimes qu'elle a demandées au bon Dieu. Ma Mère, pendant mon agonie, si vous voyez que la souffrance m'empêche de faire des actes d'amour, je vous en conjure, rappelez-moi mon désir. Je veux mourir en disant à Jésus que je l'aime.»

Ce désir fut réalisé. La Mère Prieure, dans une lettre circulaire adressée à tous les Carmels, raconte ainsi ses derniers moments:

«On respirait vraiment, dans sa cellule, une autre atmosphère que celle d'ici-bas. Une de nos sœurs y apporta «la Vierge de Thérèse». Le regard déjà si beau de la petite Marie s'illumina d'un reflet céleste. «Que je l'aime! dit-elle en lui tendant les bras. Oh! qu'elle est belle!»

«Le moment suprême approchait, et les élans de notre douce mourante devenaient toujours plus expressifs et plus embrasés: «Je ne crains pas de mourir! oh! quelle paix!... Il ne faut pas avoir peur de la souffrance... Il donne toujours la force... Oh! que je voudrais bien mourir d'amour!... d'amour pour le bon Dieu... Mon Jésus, je vous aime!» Et l'âme de notre angélique sœur, quittant son enveloppe fragile, s'exhala dans cet acte d'amour...

«C'était le 14 avril 1905. Elle avait 34 ans.»

[16] Joan., XI, 4.

[17] Du haut du ciel, Thérèse sut lui rendre ses soins maternels. Pendant sa dernière maladie, elle la protégea visiblement. Un matin, on la trouva paisible et radieuse: «Je souffrais beaucoup, dit-elle, mais ma petite Thérèse m'a veillée avec tendresse. Toute la nuit je l'ai sentie près de mon lit. A plusieurs reprises, elle m'a caressée, ce qui m'a donné un courage extraordinaire.» Mme Guérin avait vécu et mourut comme une sainte, à l'âge de 52 ans. Elle répétait, le sourire sur les lèvres: «Que je suis contente de mourir! C'est si bon d'aller voir le bon Dieu! Mon Jésus, je vous aime. Je vous offre ma vie pour les prêtres, comme ma petite Thérèse de l'Enfant-Jésus.» C'était le 13 février 1900.

M. Guérin, après avoir pendant bien des années employé sa plume à la défense de l'Eglise et sa fortune au soutien des bonnes œuvres, mourut saintement, tertiaire du Carmel, le 28 septembre 1909, dans sa 69e année.

[18] Cant., II, 11.

[19] Sap., IV, 12.

[20] Eccles., I, 2.

[21] Imit., l. I, ch. I, 3.

[22] Cant., II, 1.

[23] Galat., II, 20.

[24] Imit., l. III, c. XXVI, 3.

[25] Ps. LIV, 6.

[26] Lucæ, VII, 47.

[27] Lucæ, V, 32.

[28] Sap., IV, 11.

[29] Sap., V, 10.

[30] Elle entra au Carmel de Lisieux le 15 octobre 1886, et prit le nom de Sœur Marie du Sacré-Cœur.

[31] Lucæ, V, 5.

[32] Joan., IV, 7.

[33] Ezech., XVI, 8, 9, 13.

[34] Imit., l. III, c. XLIII, 4.

[35] Cant., VIII, 1.

[36] Lucæ, XIX, 26.

[37] Lucæ, X, 21.

[38] Cant., II, 3.

[39] Matt., XVIII, 6.

[40] Imit., l. III, c. V, 4.

[41] Imit., l. III, c. XXIV, 2.

[42] Is., LXV, 15.

[43] Apoc., II, 17.

[44] I Cor., IV, 5.

[45] Matt., V, 13.

[46] Tit., I, 15.

[47] Cant., VII, 1.

[48] Office de sainte Cécile.

[49] Lucæ, XII, 32.

[50] Id., XXII, 29.

[51] Lucæ, XXIV, 26.

[52] Matt., XX, 22.

[53] Ps. CIII, 33.

[54] Ancien missionnaire de la Compagnie de Jésus au Canada.

[55] Joan., XVIII, 36.

[56] Imit., l. I, c. II, 3.

[57] Is., LIII, 3.

[58] Pour honorer Jésus, le divin Roi dont sa petite reine allait devenir la fiancée, M. Martin avait voulu que, ce jour-là, elle fût vêtue d'une robe de velours blanc, garnie de cygne et de point d'Alençon. Ses grandes boucles de cheveux blonds flottaient sur ses épaules et des lis composaient sa parure virginale.

[59] Léonie étant entrée aux Clarisses, ordre trop austère pour sa santé délicate, dut revenir chez son père. Plus tard elle fut reçue à la Visitation de Caen, où elle prononça ses vœux sous le nom de Sœur Françoise-Thérèse.

[60] Sap., III, 6.

[61] Elle fut chargée jusqu'à sa mort d'orner cette statue de l'Enfant-Jésus.

[62] Ps. LXXXIX, 15.

[63] Ps. CII, 14.

[64] Philip., IV, 7.

[65] Corridor.

[66] Is., LII, 11.

[67] Ce désir, Thérèse le gardait dans son cœur depuis son enfance. Voici ce qu'elle nous confia plus tard:

«J'avais dix ans le jour où mon père apprit à Céline qu'il allait lui faire donner des leçons de peinture, j'étais là et j'enviais son bonheur. Papa me dit: «Et toi, ma petite reine, cela te ferait-il plaisir aussi d'apprendre le dessin?» J'allais répondre un oui bien joyeux, quand Marie fit remarquer que je n'avais pas les mêmes dispositions que Céline. Elle eut vite gain de cause: et moi, pensant que c'était là une bonne occasion d'offrir un grand sacrifice à Jésus, je gardai le silence. Je désirais avec tant d'ardeur apprendre le dessin que je me demande encore aujourd'hui comment j'eus la force de me taire.»

[68] Eccles., II, 11.

[69] Ce fut le 14 septembre 1894. Céline devint Sr Geneviève de Sainte-Thérèse.

[70] Lucæ, XVII, 21.

[71] Notre-Seigneur à la B** Marguerite-Marie.

[72] Cant., VIII, 7.

[73] Ps., CXII, 1.

[74] Lucæ, XV, 31.

[75] Ps. XXXV, 5.

[76] I Reg., XVI, 7.

[77] Tob., XII, 7.

[78] Is., III, 10.

[79] Prov., IX, 4.

[80] Is., LXVI, 13.

[81] Ps. LXX, 18.

[82] Elle exerçait la charge de maîtresse des novices, sans en porter le titre.

[83] Ps. CXVIII, 141, 100, 105, 106.

[84] Lucæ, I, 49.

[85] Joan., I, 5.

[86] Lucæ, XVIII, 13.

[87] Ps. XCI, 4.

[88] Ps. CXLIII, 1, 2.

[89] Ps. CXXXII, 1.

[90] Matt., XXII, 39.

[91] Id., VII, 21.

[92] Joan., XIII, 34.

[93] Id., XV, 13.

[94] Lucæ, XI, 33.

[95] Joan., XV, 12.

[96] I Cor., IV, 3, 4.

[97] Lucæ, VI, 37.

[98] Matt., V, 43, 44.

[99] Lucæ, VI, 32.

[100] Id., VI, 30.

[101] Matt., xi, 30.

[102] Matt., v, 40.

[103] Ibid., 41.

[104] Ibid., 42.

[105] Lucæ, vi, 34, 35.

[106] Imit., l. III, c. xliv, 1.

[107] Prov., I, 17.

[108] Id., X, 12.

[109] Ps. CXVIII, 32.

[110] Rom., VIII, 15.

[111] Exod., IX, 14.

[112] Ps. xxxiii, 5.

[113] Ps. cxi, 4.

[114] Prov., xviii, 19.

[115] Joan., x, 12.

[116] II Reg., XVI, 10.

[117] Marci, VII, 28.

[118] Lucæ, XIV, 12, 13, 14.

[119] II Cor., IX, 7.

[120] Matt., xxv, 40.

[121] Sa sœur Pauline.

[122] Cant., I, 3.

[123] Joan., XVII.

[124] Lucæ, XV, 31.

[125] Joan., VI, 44.

[126] Lucæ, X, 41.

[127] Ps. xlix, 9, 10, 11, 12, 13, 14.

[128] Joan., iv, 7.

[129] Lucæ, ii, 19.

[130] Tob., xii, 7.

[131] La Vénérable Mère Anne de Jésus, dans le monde Anne de Lobera, naquit en Espagne en 1545. Elle entra dans l'Ordre du Carmel, au premier monastère de Saint-Joseph d'Avila, en 1570, et devint bientôt la conseillère et la coadjutrice de sainte Thérèse qui la nommait «sa fille et sa couronne». Saint Jean de la Croix, son directeur spirituel pendant quatorze ans, se plaisait à l'appeler «un séraphin incarné» et l'on faisait une telle estime de sa sagesse et de sa sainteté, que les savants la consultaient dans leurs doutes et recevaient ses réponses comme des oracles. Fidèle héritière de l'esprit de sainte Thérèse, elle avait reçu du Ciel la mission de conserver à la Réforme du Carmel sa perfection primitive. Après avoir fondé trois monastères de cette réforme en Espagne, elle l'implanta en France, puis en Belgique, où, déjà célèbre par les dons surnaturels les plus élevés, particulièrement celui de la contemplation, elle mourut en odeur de sainteté au Couvent des carmélites de Bruxelles, le—mars 1621.

Le 3 mai 1878, Sa Sainteté le Pape Léon XIII signa l'introduction de la cause de béatification de cette grande servante de Dieu.

[132] Matt., viii, 26.

[133] Saint Jean de la Croix.

[134] I Cor., xii, 31.

[135] Saint Jean de la Croix.

[136] Lucæ, XVI, 9.

[137] Ibid., 8.

[138] Saint Jean de la Croix.

[139] Is., XXXVIII, 14.

[140] Matt., IX, 13.

[141] Dom Guéranger.

[142] C'était la Révérende Mère Marie de Gonzague. Elle avait reconnu en sa novice «une âme extraordinaire, déjà sainte, et capable de devenir plus tard une Prieure d'élite». C'est pourquoi elle lui donna cette éducation religieuse si virile dont Thérèse profita si bien et dont elle se montra si filialement reconnaissante, comme elle le dit dans l'Histoire de son âme. Ce fut entre ses mains que sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus rendit le dernier soupir, «heureuse, disait-elle, de n'avoir pas, à ce moment, pour Supérieure sa petite Mère, afin de pouvoir exercer davantage son esprit de foi en l'autorité

Mère Marie de Gonzague mourut le 17 décembre 1904, assistée de la Révérende Mère Agnès de Jésus, alors Prieure. Elle était âgée de 71 ans.

[143] Job, xiii, 15.

[144] Joan., iii, 34.

[145] Cant., II, 9.

[146] Apoc., x, 6.

[147] Prov., XIX, 11.

[148] Matt., XXV, 40.

[149] Sap., vi, 7.

[150] Ps. lxxv, 9.

[151] Ps. xvii, 5.

[152] Ps. xxii, 4.

[153] Matt., XX, 23.

[154] Ps. LXVII, 29.

[155] Prov., I, 4.

[156] Judith, XV, 11.

[157] Eccl., XI, 12, 13, 22, 23, 24.

[158] Jerem., X, 23.

[159] Ps. XCIII, 18.

[160] Imitation, l. XVI, 4.

[161] Joan., XIV, 2.

[162] Ps. CXL, 5.

[163] Cant., I, 2.

[164] Esdras, IIe, iv, 17.

[165] Matt., xxv, 36.

[166] Prov., xvi, 32.

[167] Lucæ, ii, 50.

[168] Ibid., 33.

[169] J'ai incliné mon cœur à l'observation de vos préceptes, à cause de la récompense, Ps. cxviii, 12.

[170] Ephes., VI, 17.

[171] Cant., V, 7; III, 4.

[172] Saint Jean de la Croix.

[173] Ephes., VI, 17.

[174] Joan., III, 8.

[175] Lucæ, XXII, 32.

[176] Gen., II, 17.

[177] Apoc., XXII, 12.

[178] Ps. LXXXIX, 4.

[179] Cant., IV, 6.

[180] Cant., V, 2.

[181] Is., LIII, 3.

[182] Ps. CXXXVI, 4.

[183] Joan., XV, 16.

[184] Matt., X, 34.

[185] Ps. CXLIII, 1, 2.

[186] Joan., XII, 26.

[187] Matt., XI, 29.

[188] Joan., XIII, 15, 16, 17.

[189] Joan., XIII, 8.

[190] Matt., III, 10.

[191] Matt., V, 48.

[192] Apoc., XI, 4.

[193] S. Jean de la Croix.

[194] Mme Swetchine.

[195] Exod., IV, 25.

[196] I Cor., VII, 31.

[197] Ps. CXXXVI, 2.

[198] Ibid., I, 4.

[199] Is., LXIV, 4.

[200] Véronique signifie vrai portrait. Il est bien remarquable que Sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus ait appelé ainsi sa sœur Céline, qui devait plus tard, sous son inspiration, reproduire si fidèlement le vrai portrait de Notre-Seigneur Jésus-Christ, d'après le Saint Suaire de Turin.

Il est bien remarquable encore, que ce fut aussitôt après la mort de Thérèse que cette précieuse relique sortit du mystère: l'heure était venue où les secrets renfermés dans ses plis allaient être révélés au monde. Lorsque se fit l'ostension solennelle de 1898, personne n'avait vu le Saint Linceul depuis 30 ans. C'est alors que fut expliquée, par le cliché positif de la photographie, la mystérieuse empreinte négative du corps de Jésus qui, jusque-là, avait déconcerté les savants mêmes, et qu'apparut la majestueuse Figure du Christ; mais les contours étaient indécis, les traits effacés, et il devenait nécessaire de la retracer avec plus de netteté et de précision pour la présenter à la piété des fidèles.

On sait quel accueil ému lui fit Notre Saint-Père le Pape Pie X, et les indulgences nombreuses qu'il attacha à cette sainte Effigie, manifestant hautement le désir «qu'elle eût sa place dans toutes les familles chrétiennes».

Une indulgence de 300 jours, toties quoties, fut accordée, dans le même temps, à une prière à la Sainte Face composée par Sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus, et qui est désormais inséparable de l'image peinte par sa sœur.—On trouvera cette image, p. 378.

[201] Joan., XI, 16.

[202] Is., LXIII, 3.

[203] Is., LXIII, 5.

[204] Ibid., LIII, 3.

[205] Cant., V, 2.

[206] Is., LIII, 4.

[207] C'était la veille de la cérémonie de sa Prise de Voile.

[208] Joan., IV, 35.

[209] Matt., IX, 37, 38.

[210] S. Jean de la Croix.

[211] Lucæ, XIX. 5.

[212] Joan., I, 38.

[213] Lucæ, IX, 58.

[214] Cant. I.

[215] Malach., IV, 2.

[216] Cant., III, 2, 3, 4.

[217] Lucæ, XIX, 48.

[218] Matt., XXVI, 65.

[219] Ibid., XXV, 34, 35, 36.

[220] Imit., l. I, c. II, 3.

[221] Ibid., l. II, c. XI, 4.

[222] Ibid., l. III, c. XLIX, 7.

[223] Ps. CXXVI, 1.

[224] S. Jean de la Croix.

[225] Lucæ, XV, 31.

[226] Cant., I, 6.

[227] Cant., VII, 1.

[228] Off. de sainte Cécile.

[229] Lucæ, II, 14.

[230] Sap., IV, 1.

[231] Joan., XXI, 5.

[232] Lucæ, V, 5.

[233] Cant., VI, 10, 11.

[234] Cant., VI, 12.

[235] Joan., XIV, 23.

[236] Ibid., XVII, 18.

[237] Ibid., XIV, 6.

[238] Ibid., XVIII, 38.

[239] Cant., I, 12.

[240] Lucæ, XXII, 28, 29.

[241] Marci, XIV, 3.

[242] Joan., XII, 3.

[243] Matt., XXVI, 46.

[244] Joan., VIII, 10.

[245] Eccli., XXXIV, 20.

[246] Apoc., XXI, 4.

[247] Is., LIII, 3.

[248] Lucæ, XVI, 11.

[249] Ibid., XXII, 42.

[250] Imit., l. II, c. XI, 4.

[251] Presque toutes les lettres adressées par Sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus à sa sœur Léonie, ont été perdues. On n'a retrouvé que celles-ci.

[252] Hebr., XIII, 14.

[253] Is., XLIX, 15.

[254] Cant., IV, 9.

[255] II Cor., XI, 5.

[256] Saint Augustin.

[257] Marci, X, 30.

[258] Matt., XXVI, 39.

[259] Joan., XIV, 2.

[260] Ps. CII, 8, 13, 14.

[261] Matt., XIX, 14.

[262] Lucæ, XII, 34.

[263] Zach., XIII, 6.

[264] Lucæ, XV, 22.

[265] Ce billet fut tiré par Sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus, et, trois mois après, le divin Maître lui faisait entendre son premier appel.

[266] «Diamant» «perle fine», surnoms donnés aux deux aînées.

[267] D'après une peinture de sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus.

[268] Joan., xv, 5.

[269] En 1910, Mme Debossu a écrit plusieurs fois que la guérison se maintenait parfaitement.

[270] Devenu prêtre M. l'abbé A. est actuellement vicaire dans une paroisse importante et suffit sans fatigue a un travail laborieux.

[271] Les grâces suivantes s'expliquent facilement lorsqu'on sait que l'édition espagnole de la Vie complète de la servante de Dieu n'était pas encore parue.

[272] On ne peut livrer à la publicité les révélations arrachées aux démons dans les exorcismes à propos de la Servante de Dieu; mais les observations faites sur ce sujet permettent de croire que sa puissance sur les esprits de ténèbres leur est grandement redoutable.

[273] Le Carmel de Gallipoli se trouvait à ce moment dans la plus extrême détresse. La Mère Prieure avait eu l'inspiration de faire un triduum en l'honneur de la Sainte Trinité, prenant pour médiatrice Sr Thérèse de l'Enfant-Jésus, dont la vie avait été lue en communauté quelques mois auparavant.

Le triduum se terminait précisément ce 16 janvier.

[274] La Mère Prieure se nomme Sr Marie du Mont-Carmel, ou Carmela.

[275] En janvier 1911, Mr F. F. a fait savoir que sa guérison se maintenait.

[276] «Corps fibreux volumineux de l'utérus. Ce fibrome, par son volume, faisait obstacle à toutes les fonctions de l'organisme.» (Extrait du certificat du docteur X.)

[277] M. Fernand Richard, jeune poète chrétien, mort comme un prédestiné en 1911. Un de ses derniers chants a été consacré à Sr Thérèse.

[278] Il est vrai que cette palme était stérilisée; mais les semblables, aux feuilles très minces, que l'on avait en 1897 à la sacristie du Carmel, devaient être préservées avec soin de l'humidité et essuyées en temps pluvieux; sans quoi elles jaunissaient et se remplissaient de points de moisissure; finalement on dut les brûler.

[279] L'un de ces ouvriers est le menuisier qui a fait les cercueils. En reconnaissance de la faveur qu'ils avaient reçue, ils apportèrent au Carmel, le 30 septembre, pour être déposée dans la cellule de la Servante de Dieu, une très belle couronne de violettes blanches artificielles.